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SAPHO face au COVID-19

 

Articles référencés et réflexions signées 

Note de l'auteur (16/04/2020) : la littérature scientifique commence à nous proposer des articles médicaux en rapport avec le COVID-19 sur de nombreuses pathologies... Ce qui nous intéresse ici, ce sont les rapports avec NOS maladies... nous avons déjà reçu des articles, notes, hypothèses, études, conseils concernant les spondylarthrites, les polyarthrites rhumatoïdes, un peu moins sur les rhumatismes psoriasiques et les MICI mais... absolument rien sur le COVID-19 et le SAPHO... même si celui-ci fait partie de la grande famille des spondylarthrites... 

Essayons de nous faire une idée... en attendant...

 

 


« LE SYSTÈME IMMUNITAIRE DES FEMMES MIEUX ARMÉ FACE AUX CORONAVIRUS ? »

 

Le Figaro fait le point sur « ce que l’on sait et ce que l’on ignore encore sur le Covid-19 » : « Symptômes, contagiosité, immunité, mortalité, mutations… Le nouveau coronavirus apparu en Chine en décembre dernier se dévoile peu à peu ».
Anne Prigent souligne notamment que « face au Covid-19, hommes et femmes ne sont pas égaux. Toutes les données mondiales le constatent : les hommes sont plus nombreux à être touchés par les formes graves de la maladie. En France, ils représentent 73 % des personnes admises en réanimation ».
La journaliste observe que « le fait d’être de sexe masculin multiplierait par deux ce risque, selon une étude française publiée en ligne le 10 avril dans la revue Obesity. Ces différences avaient déjà été observées lors de précédentes épidémies liées à des coronavirus, comme celle du Sars-CoV-1 en 2003 ».
Anne Prigent remarque que « les raisons sont sans aucun doute multiples. Les différences de comportement, et d’hygiène de vie entre les sexes peuvent jouer un rôle. De plus, certains chercheurs évoquent la piste d’un effet biologique du sexe sur la susceptibilité à l’infection ».
Le Pr Pierre Delobel, chef du service des maladies infectieuses et tropicales au CHU de Toulouse, déclare ainsi : « Nous savons que les femmes développent de meilleures réponses immunitaires que les hommes notamment face aux virus à ARN. Un avantage mettant en jeu les hormones et des facteurs génétiques portés par le chromosome X ».
La journaliste rappelle que « l’hypothèse de l’influence hormonale avait été testée en 2017 sur des souris exposées au Sars-CoV-1. […] Cette hormone sexuelle féminine [œstrogène] agirait en renforçant l’efficacité de certaines cellules du système immunitaire inné ».
Le Pr Delobel explique : « Lorsqu’un virus entre dans l’organisme, les cellules dendritiques vont initier la réponse immunitaire pour contrôler l’infection et la charge virale en secrétant de l’interféron de type 1. Chez la femme, ce mécanisme inflammatoire est plus précoce et plus efficace. […] Dans l’infection à coronavirus, il semble que la réponse immunitaire innée représente un avantage en freinant rapidement la réplication virale ».
Anne Prigent note de plus que « le système immunitaire féminin serait également avantagé par des facteurs génétiques liés aux chromosomes X ».
Le Dr Jean-Charles Guéry, responsable de l’équipe de recherche Inserm dédiée aux différences liées au sexe dans l’immunité, à Toulouse, indique que « le gène TLR7, présent sur le chromosome X, est un récepteur qui joue un rôle crucial dans la réponse antivirale. Chez la souris, une déficience de ce gène va entraîner un défaut de production d’anticorps. Or, chez la femme, le gène TLR7 fait partie des 15% de gènes qui échappent aux mécanismes d’inactivation de l’X ».
« Pour faire simple, la fabrication d’anticorps chez la femme ne peut pas être prise en défaut. Et ce qui peut se révéler un handicap dans les maladies auto-immunes, se transforme en avantage face à certains virus », résume la journaliste, qui conclut que « si l’hypothèse d’une réponse immunitaire plus adaptée chez les femmes face au Covid-19 semble pertinente, elle reste cependant à valider ».

Date de publication : 16 avril 2020

                                                                                 

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Système immunitaire faible

La faiblesse immunitaire n’est pas toujours facilement détectable. Voici tout de même quelques signes : une fatigue persistante, qui cache souvent un stress ou un manque de sommeil, deux facteurs qui affaiblissent l’immunité, une sensibilité accrue aux infections, qui s’observe par des rhumes fréquents, des infections urinaires, des blessures qui prennent du temps à guérir ou à cicatriser.

Facteurs de risque :
- La malnutrition. Une alimentation mal équilibrée en quantité ou en qualité est la plus importante cause de déficit immunitaire et rend vulnérable à plusieurs maladies infectieuses.
- Le vieillissement. L’âge est un facteur de fragilisation du système immunitaire. Bien que certaines personnes vieillissent en santé, les études démontrent que les infections, les maladies inflammatoires et le cancer sont plus fréquents chez les personnes âgées de plus de 65 ans.
- La sédentarité, et à l’inverse, le surentraînement.
- Le manque de sommeil.
- Le stress. En situation de stress, les glandes surrénales sécrètent du cortisol et le système sympathique, de la noradrénaline – deux substances qui affaiblissent le système immunitaire.
- L’exposition aux toxines, notamment par l’utilisation de produits de nettoyage domestique chimiques et d’herbicides sur les pelouses, et par la consommation de fruits et de légumes vaporisés d’insecticides.
- L’exposition aux polluants atmosphériques extérieurs ainsi qu’à ceux qui se propagent à l'intérieur des habitations (moisissures, bactéries, tabac et gaz de combustion).

Source ABC Santé

 

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https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-quatre-questions-sur-les-orages-de-cytokine-soupconnes-d-etre-responsables-de-cas-graves-de-covid-19_3914925.html?fbclid=IwAR3sWthhqwsNsIXvCaGmsL1AF1nhroA6TBY6mdKYutA2jEIioLm8z4abYns#xtor=CS2-765-%5Bautres%5D-

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https://sfr.larhumatologie.fr/actualites/reponses-aux-patients

 

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Covid-19 : ne prenez surtout pas d'anti-inflammatoires !

La prise d'anti-inflammatoires non stéroïdiens pourrait être un facteur d'aggravation de l'infection par le SARS-CoV-2. Le ministère de la santé recommande l'usage du paracétamol en cas de fièvre.

Covid-19 : ne prenez surtout pas d'anti-inflammatoires !

Attention si vous avez des symptômes (fièvre, maux de tête ou courbatures) correspondant au Covid-19 : la prise d'anti-inflammatoires non stéroïdiens comme la cortisone ou l'ibuprofène pourrait aggraver votre état de santé si l'infection par le coronavirus est avérée.

C'est Olivier Véran, le ministre de la Santé, qui a communiqué l'information sur son compte twitter le samedi 14 mars en recommandant aux personnes qui prennent ces anti-inflammatoires pour d'autres pathologies de demander conseil à leur médecin.

Les médicaments à prendre pour les personnes atteintes ou suspectes de Covid-19 sont ceux à base de paracétamol.

Des médicaments qui ne sont plus en vente libre

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ne sont plus en vente libre dans les pharmacies depuis le 15 janvier dernier après une mise en garde de l'ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) suite à leurs effets aggravant dans les états infectieux. Dans le cas de Covid-19, plusieurs médecins auraient alerté les autorités sanitaires sur le cas de jeunes patients qui se seraient retrouvés dans un état grave après avoir pris de l'ibuprofène contre la fièvre.

Pour faire baisser cette fièvre, il est donc recommandé d'utiliser le paracétamol, sachant que ce produit peut aussi être dangereux en provoquant de graves lésions du foie lorsqu'il est pris à trop fortes doses.

 

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Je m'avance peut-être mais j'ai remarqué un truc grâce aux cartes mondiales sur le covid-19... il me semble qu'il y a beaucoup moins de cas graves sur les littoraux (mers, océans...) et j'aurais tendance à penser que c'est grâce à la consommation supérieure de poissons (dont oméga-3) sur le littoral vs intérieur des terres... alors effectivement, il y a des endroits comme l'état de New-York (par exemple) où cela n'est pas vrai mais il faut savoir qu'à certains endroits, le poisson est trop cher ou bien n'entre pas dans les habitudes des habitants et donc même en bord d'eaux, on mange de la viande mais pas de poisson... les oméga-3 étant naturellement anti-inflammatoires... je me demande si cela ne jouerait pas dans la maladie... ????????

PS : je ne parle pas de l'Afrique (terre ou littoral) car les chiffres ne sont malheureusement pas fiables du tout.

Je pense également au rôle primordial de la vitamine D ainsi que la vitamine C et le zinc (fruits de mer) oeuvrant comme chacun le sait sur le système immunitaire... et le moral !

Mais........... à suivre !

De toute façon, vous me connaissez, je ne peux que vous encourager à adopter une alimentation fortement anti-inflammatoire !

16/04/2020

Corinne MANTELET, Présidente AISMS 

 

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Une étude chinoise a repris toutes les caractéristiques des malades depuis le début de l'épidémie de Coronavirus pour dresser un portrait type des malades.

Alors que l'épidémie de Coronavirus continue de s'étendre à travers le monde, y compris en France, où la croissance du nombre de cas est exponentielle (voir le denier bilan), le profil des malades est petit à petit étudié. Ce qu'il faut retenir c'est que la majorité des patients en réanimation ont des pathologies sous-jacentes mais ce n'est pas l'ensemble des gens.

 

1-85% des formes sont "mineures"

Selon le ministère de la Santé, environ 15% des cas constatés entraînent des complications et 5% de ces dernières nécessitent une hospitalisation en réanimation.

La plupart des malades du Coronavirus souffre de symptômes légers. Pour rappel, les symptômes principaux sont la fièvre et la fièvre. La perte brutale de l’odorat, sans obstruction nasale et la disparition totale du goût sont également des symptômes qui ont été observés. Chez les personnes développant des formes plus graves, on retrouve des difficultés respiratoires, pouvant mener à une hospitalisation en réanimation et au décès.

2-Plus d'hommes admis en réanimation

Dans son dernier point épidémiologique (publié ce mardi 24 mars 2020), Santé Publique France, nous en apprend un peu plus sur le profil des personnes touchées par le coronavirus. Les autorités de santé observent que sur les 358 patients admis en réanimation en France, 73 % étaient de sexe masculin contre 26% de sexe féminin. Les hommes représentent donc presque les trois quart des cas de Covid-19 nécessitant une réanimation ! Côté mortalité en revanche, Santé Publique France note que 57 % des décès liés au coronavirus concernent des hommes, soit un peu plus de la moitié des décès.

D'après une vaste étude épidémiologique chinoise, menée sur 45 000 patients entre le 18 décembre et le 11 février, les hommes étaient à peine plus nombreux que les femmes à être atteints du virus, 51,4%, contre 48,6%, mais y succombaient nettement plus : sur les 1023 premiers décès, 63,8% étaient de sexe masculin, contre 36,2% de sexe féminin.

3-PEU D'ENFANTS VICTIMES DU COVID-19, FORT RISQUE POUR LES PERSONNES ÂGÉES

Le virus touche toutes les classes d'âges, y compris les plus jeunes, chez qui on constate aussi des complications ou des formes graves, observe désormais le ministère de la Santé. La médiane des personnes hospitalisées en réanimation est de58 ans, ce qui signifie que la moitié des patients hospitalisés en réanimation ont moins de 58 ans et que l'autre moitié a plus de 58 ans.

L'infection à Covid-19 entraîne toutefois des décès majoritairement chez les personnes âgées et les plus fragiles.

  • Les + de 60 ans représentent 96% des décès.
  • Les + de 70 ans représentent 86% des décès.
  • Les + de 80 ans représentent 62% des décès.

Rappelons qu'en France une adolescente de 16 ans est décédée fin mars des suites du Covid-19. À ce jour, il s’agit de la plus jeune victime dans le pays.

Reste que les enfants demeurent peu sujets au Covid-19. C'est aussi la conclusion de l'expérience chinoise : sur 44 672 cas confirmés, seulement 2% des patients avaient moins de 20 ans, et 10% moins de 30 ans. Les 1023 premiers décès n'avaient enregistré qu'un seul enfant, dans la tranche d'âge 10-19 ans. En Chine aussi, les personnes âgées étaient les plus exposées à cette éventualité, avec un âge pivot fixé autour de 60 ans.

4-PLUS DE RISQUE POUR LES PERSONNES DÉJÀ MALADES

L'autre facteur aggravant est le fait d'être atteint d'une maladie avant de contracter le Covid-19 telle que le diabète, l'hypertension, l'asthme, un cancer... Dans de tels cas, les risques de succomber au virus sont deux à trois fois plus élevés selon les chercheurs chinois.

Santé Publique France note dans son dernier bulletin épidémiologique (publié le 24 mars) que dans la semaine qui a précédé, l’âge moyen des cas admis en réanimation était de 65 ans (26% sont âgés de plus de 75 ans) et que la majorité (67%) des cas présentaient au moins un facteur de risque potentiel de complication. Les deux facteurs de risque les plus fréquemment rapportés étant le diabète (23%) et les pathologies cardiaques (22%).

Source Top Santé 

 

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Ce que savent les médecinsCe que savent les médecins (303.25 Ko)

 

https://www.dailymotion.com/video/x7sz8op

 

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AFP, publié le samedi 18 avril 2020 à 09h41

Les médecins de New York traitant des patients atteints de Covid-19 observent de plus en plus qu'avec la fièvre, la toux et l'essoufflement, un autre symptôme apparaissait: certains éprouvent de la confusion, au point de ne pas savoir où ils sont, ni quelle est l'année actuelle.

Cette perte de repères est parfois liée au manque d'oxygène dans le sang, mais chez certains malades le niveau de confusion semble être hors de proportion par rapport au niveau d'affection de leurs poumons.

Pour Jennifer Frontera, neurologue à l'hôpital universitaire Langone à Brooklyn, la question se pose de l'impact du nouveau coronavirus sur le cerveau et le système nerveux.

Des études commencent à décrire le phénomène. Dans la revue de l'Association de médecine américaine (Jama), la semaine dernière, des médecins ont rapporté que 36% de 214 patients chinois avaient des symptômes neurologiques, allant de la perte d'odorat à des douleurs nerveuses, et jusqu'à des crises convulsives et des accidents vasculaire cérébraux (AVC).

Dans le New England Journal of Medicine, la revue médicale américaine la plus cotée, des médecins français à Strasbourg ont décrit que plus de la moitié de 58 patients en réanimation étaient confus ou agités. Des scanners des cerveaux ont révélé de possibles inflammations.

"Tout le monde dit que c'est un problème de respiration, mais cela affecte aussi quelque chose qui nous est très précieux, le cerveau", dit à l'AFP S. Andrew Josephson, chef du département de neurologie à l'université de Californie San Francisco.

"Si vous vous sentez confus, si vous avez des problèmes pour réfléchir, ce sont de bonnes raisons de consulter un médecin", ajoute-t-il. "La vieille idée selon laquelle il ne faut venir que si on est à bout de souffle n'est sans doute plus valable."

- Les virus et le cerveau -

Les virologues ne sont pas totalement surpris que le nouveau coronavirus, SARS-CoV-2, puisse affecter le cerveau et le système nerveux, car ce lien a été observé avec d'autres virus, notamment le virus du sida, le VIH.

Les virus peuvent affecter le cerveau de deux façons principales, explique Michel Toledano, neurologue à la Mayo Clinic dans le Minnesota.

La première est par le déclenchement d'une réponse immunitaire anormale appelé "orage de cytokine", qui provoque une inflammation du cerveau: cela s'appelle une encéphalite auto-immune.

La seconde est par une infection directe du cerveau: cela s'appelle une encéphalite virale. Le cerveau est protégé par ce qu'on appelle la barrière hémato-encéphalique: son rôle est de bloquer les substances intruses, mais elle peut être percée.

Certains émettent l'hypothèse que le nez pourrait être la voie d'accès au cerveau, puisque la perte d'odorat est commune à de nombreux malades du Covid-19. Mais ce n'est pas vérifié, et beaucoup de patients perdant l'odorat n'ont pas de problèmes neurologiques sérieux.

La piste principale est en fait celle de la réponse immunitaire en surchauffe. Pour en avoir le coeur net, il faudrait détecter le virus dans le liquide cérébrospinal. Cela a été fait une fois, chez un Japonais de 24 ans, dont le cas a été décrit dans l'International Journal of Infectious Disease. 

Il a souffert de confusion et de convulsions et l'imagerie de son cerveau montrait des inflammations. Mais le test n'est pas encore validé et les scientifiques restent prudents.

- A suivre -

Pour éclaircir ces mystères, Jennifer Frontera, qui enseigne à l'école de médecine de l'université de New York, collabore à un projet de recherche international visant à standardiser la collecte de données.

Sa propre équipe a consigné des cas de crises convulsives chez des patients Covid-19 qui n'en avaient jamais fait avant de tomber malades. Les chercheurs ont également observé de minuscules hémorragies cérébrales qualifiées d'"inédites".

Ils veulent aussi prélever le liquide cérébrospinal d'un quinquagénaire dont la matière blanche du cerveau est gravement affectée. Mais ces prélèvements, tout comme les IRM, sont difficiles à faire sur des patients sous respirateur artificiel. Et comme la majorité meurt, on étudie mal les dommages neurologiques.

Ceux qui survivent finissent en revanche par consulter des neurologues.

"Nous voyons beaucoup de patients dans des états de confusion", dit à l'AFP Rohan Arora, neurologue à l'hôpital Long Island Jewish Forest Hills. Il affirme que 40% des rescapés du coronavirus sont concernés.

On ignore si ces troubles sont durables. Le passage en réanimation est, en soi, créateur de confusion, en particulier à cause des médicaments.

Mais le neurologue constate que le retour à la normale, pour les patients Covid, semble prendre plus longtemps que pour ceux qui ont survécu à une crise cardiaque ou un AVC.

 

 

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Avant de donner mon avis et celui de nombreux naturopathes, cultivons-nous en lisant ce texte mêlant médecine traditionnelle et expériences extra-médicales, peut-être pour une réconciliation...

 

http://patrimoinemedical.univmed.fr/articles/article_nostradamus.pdf

 

 

QUID de l'alimentation, des remèdes de grands-mères, des HE, des méthodes extra-médicales ? 

 

 

La vitamine D, une protection en cas de contamination par le corona
| 16/06/2020 |

 Le monde est en proie à une pandémie due au Covid-19. Mais il semble n’y a voir que peu d’intérêt pour les facteurs de risques.
De nombreuses études ont déjà démontré que la vitamine D protège de la grippe influenza et d’autres infections via divers mécanismes : soutien au système immunitaire, production de substances antivirales (défensines, cathélicidines) et diminution des cytokines pro-inflammatoires, responsables d’une inflammation pulmonaire aiguë. Il avait déjà été démontré que la vitamine D protège de la pneumonie (inflammation pulmonaire) et du SDRA (syndrome de détresse respiratoire aiguë), e.a. lors de l’épidémie au SRAS en 2002.

Une très récente étude qui a analysé les chiffres de mortalité de plus de dix pays européens, a lié les taux de vitamine D de la population à la gravité l’épidémie due au SARS-CoV-2. Dans les pays les plus gravement touchés (Italie, Espagne, Suisse), les taux de vitamine D semblaient en moyenne plus faibles (surtout chez les personnes âgées) que le minimum déjà faible de 30 nmol/l. La vitamine D semble en fait réduire la gravité de la tempête de cytokines.
En Belgique (Pays-Bas) aussi, le déficit en vitamine D est un problème très fréquent.

Source ABC Santé 

L’alimentation occidentale, responsable de graves complications du Covid-19 ?
| 25/06/2020 |
L’alimentation occidentale, responsable de graves complications du Covid-19 ?Dans cette crise mondiale due au coronavirus, nous sommes continuellement confrontés à de nombreux malades gravement atteints, qui - malgré tous les soins intensifs prodigués – finissent hélas souvent par décéder. Mais il semble quand même que ce virus particulièrement contagieux ne conduise qu’à un faible risque de mortalité : autour de 3%.
Ce qui est étrange, c’est que la plupart des gens contaminés n’ont que peu de symptômes ou des symptômes assez modérés, tandis que d’autres n’y survivent pas. Les personnes âgées et celles qui souffrent d’obésité courent un risque plus élevé mais certaines personnes très âgées passent au travers, tandis que des gens plus jeunes décèdent. Simple malchance ? Ou y a-t-il quand même une raison ?

Après quelques publications sur l’utilité des vitamines et des antioxydants, voici enfin une étude qui pointe la nourriture occidentale comme grande responsable de la défaillance immunitaire face au Covid-19. La nourriture industrielle crée des déficiences alimentaires, provoque de l’inflammation chronique, brise les défenses muqueuses et épuise le système immunitaire. Si le virus n’est pas attaqué dès la première ligne de défense, il va se propager et pouvoir attaquer tous les tissus.

Une alimentation saine protège des complications du Covid-19 !

Source ABC Santé

 

 

« Covid-19 : les formes graves parfois liées à nos... gènes »

Le Parisien

Marc Payet s’interroge dans Le Parisien : « Le Covid, ce serait génétique? On sait qu'il s'agit d'une maladie infectieuse d'origine virale, liée au SARS-CoV-2, mais la réponse de notre organisme varie en fonction de nos gènes ».
Le journaliste observe que « cette idée d'une «piste génétique» avait déjà été avancée par différentes équipes de recherche depuis que ce nouvel ennemi est apparu, mais les travaux menés par l'Institut de recherche Imagine (Hôpital Necker, Inserm, Université Rockefeller et Howard Hughes Medical Institute à New York) donnent de nouvelles informations sur ce sujet ».
Marc Payet se penche ainsi sur ces travaux parus dans la revue Science : « Une équipe franco-américaine, dirigée par Jean-Laurent Casanova et Laurent Abel, montre en effet que 15% des formes graves de Covid ont des causes génétiques et immunologiques ».
Laurent Abel indique que « depuis plusieurs années, on se rend compte que les maladies infectieuses s'expliquent aussi par des causes génétiques. Nous le voyons maintenant avec le Covid. Depuis le début de la pandémie, nous avons mis en place un consortium international, Covid Human Genetic Effort, dans le but d'identifier les facteurs génétiques pouvant expliquer les formes sévères ».
« Si certains de nos gènes sont défaillants, la réponse immunitaire de notre organisme sera moins efficace. La production de certaines protéines essentielles à notre défense ne pourra plus se faire »,
 explique le chercheur.
Il déclare ainsi que « 3 à 4% des patients atteints de forme sévère du Covid ont des mutations dans leurs gènes. Cela a pour conséquence directe de diminuer leur production d'interférons de type 1. Or ces molécules du système immunitaire ont normalement une puissante activité antivirale. Face à cette situation la maladie du patient s'aggrave ».
Marc Payet indique que « des recherches sont en cours pour mettre au point des techniques de dépistage de ces patients à risque, mais certaines sont assez avancées. Il existe aussi un vrai espoir de traitement, en utilisant les médicaments élaborés à partir d'interférons de type 1 et qui vont compenser leur déficit dans l'organisme. Ils sont disponibles depuis plus de 30 ans et sans effets secondaires notables s'ils sont pris pendant une courte période ».
Le journaliste relève que « les chercheurs de l'Institut Imagine ont effectué une autre découverte, qui met en avant la fragilité de certains patients ».
Laurent Abel remarque en effet : « Nous nous sommes aperçus que 10 à 11% des malades qui font des formes sévères de Covid ont la particularité de produire des autoanticorps. Ceux-ci neutralisent les interférons de type 1 et les empêchent de lutter contre la maladie ».
Le chercheur précise en outre qu'il s'agit « en très grande majorité d'hommes ». Marc Payet note ainsi que « sur les 101 personnes figurant dans le groupe présentant ce profil clinique, 95 étaient des hommes. De plus, l'une des six femmes qui avait des autoanticorps était par ailleurs atteinte d'incontinentia pigmenti, une maladie génétique due à une mutation d'un gène porté par le chromosome X ».
Laurent Abel explique : « Notre hypothèse est que l'origine de ces autoanticorps serait liée à une mutation chez certains du chromosome X ».

Date de publication : 29 septembre 2020

 

 

 

Personne n'en parle...

Texte d'un naturopathe français :

'' C'est assez ennuyeux que jour après jour et de plus en plus, au cœur de la pandémie, les médias ne donnent pas d'explications sur le fonctionnement de notre système immunitaire.

Nous sommes constamment encouragés à rechercher une protection extérieure qui nous sauve : acheter des masques, acheter des gel hydroalcoolique (sans préciser que ces gel ne doivent pas être utilisés pendant plusieurs jours d'affilée car, à base d'éthanol, ils élimineront la première barrière immunitaire naturelle de notre corps : les bactéries et films lipides de notre peau, qui est une barrière pour les virus... [Ceci est également dû à l'utilisation excessive de produits antibactériens ces dernières années, et à un malentendu sur le rôle des bactéries dans notre immunité, que nos corps deviennent Année plus sensible avec année.]

Plus nous utilisons ces gel à base d'alcool, plus perméables et sensibles aux virus devient l'épiderme... Donnons la priorité aux savons classiques !

Ensuite, les médias commencent à nous parler d'une solution qui viendrait aussi de l'extérieur : un futur traitement pharmacologique ou un vaccin dont les évaluations de l'autorisation de mise sur le marché seront certainement négligées pour des raisons d'′′ urgence "...

À quel moment a-t-il été expliqué à la population que tout le monde a la capacité de renforcer naturellement son système immunitaire en quelques jours (les jeunes) ou en quelques semaines ? Cela n'empêcherait certainement pas la propagation du virus, mais renforcerait nos défenses contre lui et réduirait donc la proportion de cas graves, afin de guérir beaucoup plus vite à la maison.

Pourquoi ne pas impliquer dans les canaux d'information, qui consacrent 95 % de leur temps sur ce sujet pendant plusieurs semaines, aux professionnels de la santé qui parlent de prévention, en tant que nutritionnistes, naturopathes, homéopathes,, phytothérapeutes, qui pourraient réaliser un immense travail d'information et de prévention près du public et donc atténuer les médecins qui sont en première ligne ?

Pourquoi ne pas dire aux gens que manger des ordures, comme les produits industriels transformés et raffinés, est la première chose qui détruit nos défenses immunitaires ?

Que l'efficacité de notre système immunitaire dépend strictement de la qualité de notre flore intestinale (et donc de la qualité de ce que nous mangeons)

Quels légumes et fruits vivants, crus, locaux et saisonniers sont la meilleure façon d'augmenter rapidement nos réserves minérales, nécessaires à l'immunité.

Pourquoi ne pas expliquer que le jeûne renforce le système immunitaire en seulement 3 jours ?

Pourquoi ne pas parler des avantages de la douche froide qui augmente en quelques jours le niveau de certains lymphocytes T ?

Pourquoi ne pas expliquer que des plantes comme l'échinacée, l'astragale, le sureau, le scaramusso, sous leurs formes concentrées, augmentent les défenses immunisées en quelques semaines ? (alors nous aurions eu le temps depuis que le virus est apparu...)

Pourquoi ne pas parler de l'efficacité des huiles antivirales essentielles, en plus de Vit C à hautes doses et minérales, trace comme du zinc et du sélénium ?

Pourquoi ne pas parler de l'importance de l'activité physique et des études récentes qui prouvent l'efficacité rapide du yoga pour renforcer le système immunitaire ?

Pourquoi ne pas expliquer que la peur est un immunosuppresseur puissant ? Et pourquoi est-ce la seule émotion diffusée en ce moment par les principaux médias qui génèrent un niveau d'anxiété qui affaiblit chaque jour de plus en plus...?

Pourquoi ne pas expliquer aux personnes qui ont en eux un potentiel de défense et de guérison qui est infiniment plus puissant que n'importe quelle drogue au monde et qui peut être activée rapidement ? Notre CORPS est une vraie machine de guérison.

En cette période où nous avons enfin du temps, il est temps de nous intéresser à notre propre fonctionnement, revendiquer notre pouvoir personnel, prendre le contrôle de notre santé et de notre avenir.

 

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Groupe sanguin et COVID-19

Par le Dr Sophie Florence - Paris

La probabilité d’être infecté par la COVID-19 semble augmentée pour les personnes de groupe sanguin A et diminuée pour le groupe sanguin 0 ainsi que les rhésus négatifs. Des chercheurs américains viennent de publier dans la revue Medrxiv les résultats d’une étude observationnelle. L’identification des personnes à haut risque de maladie ou de complications est un enjeu majeur pour lutter contre la pandémie du SARS-CoV-2. Les observations cliniques et études ont montré que l’âge, le sexe et certaines comorbidités comme les maladies cardiovasculaires, l’HTA, le diabète et l’obésité sont des facteurs de risque d’infection et de gravité de SARS-CoV-2. Certaines études recherchent également des facteurs génétiques et les groupes sanguins ABO pourraient être des facteurs de susceptibilité d’être contaminé ou de développer des formes graves.Les chercheurs ont utilisé des données observationnelles du système de santé de 14.112 personnes testées pour le SARS-CoV-2 avec un groupe sanguin connu pour évaluer l'association entre les groupes sanguins ABO et rhésus et l'infection, l'intubation et le décès. Les auteurs ont retrouvé des écarts de répartition surtout pour les groupes A et O avec une prévalence d'infection légèrement augmentée parmi les types non-O.Le risque d'intubation était diminué chez A et augmenté chez les types AB et B, par rapport au type O, tandis que le risque de décès était accru pour le type AB et diminué pour les types A et B. En raison des rares cas de sang rhésus négatif, le résultat n’est associé qu’à des groupes sanguins rhésus positifs. Le groupe sanguin Rh négatif avait un effet protecteur pour les trois résultats. D’autres études devront être réalisées pour confirmer ou infirmer ces données. Dans tous les cas, personne ne devrait se sentir protégé, quel que soit son groupe sanguin.

Référence : Zietz M, Tatonetti NP.Testing the association between blood type and COVID-19 infection, intubation, and death.medRxiv [Preprint]. 2020. Doi:10.1101/2020.04.08.20058073

Date de publication : 17 novembre 2020

 

 

Source ABC Santé : La mémoire immunitaire des cellules T prometteuse contre le COVID-19

 

| 01/10/2020 |
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La mémoire immunitaire des cellules T prometteuse contre le COVID-19La violence avec laquelle le virus SARS-CoV-2 a envahi le monde et les maisons de repos contraste en fait avec le risque de décès final (0,24 à 0,6%). La sévérité du COVID-19 semble être très variable : allant de symptômes légers à une tempête de cytokines et au décès.

Le pourcentage de gens qui développent des anticorps serait faible. Mais il apparaît de plus en plus clairement que la véritable protection immunitaire se trouve plutôt dans l’immunité des cellules T. Ces globules blancs forment la mémoire du système immunitaire et retiennent pendant des décennies ou même toute la vie la « signature » des microbes. Ils se multiplient incroyablement vite en cas de nouvelle infection pour neutraliser l’intrus.

L’immunité des cellules T semble être beaucoup plus élevée, aussi chez les personnes non-contaminées et même chez les gens qui n’ont pas été exposés. Dans de récentes études, on constate qu’il y aurait une réaction croisée entre tous les coronavirus (4 virus du rhume, le SARS (SRAS) et le MERS). Ces virus apparentés entre eux ont de nombreux « épitopes » similaires, grâce auxquels les cellules T peuvent les reconnaître et les mettre hors circuit. De récentes études évaluent la mémoire des cellules T pour les coronavirus à 50 à 60% !

Attention : l’immunité des cellules T diminue avec l’âge, surtout en cas de carences alimentaires !

Un apport suffisant en oméga-3 protège des complications du COVID-19
| 01/03/2021 |

Un apport suffisant en oméga-3 protège des complications du COVID-19Bien qu’il soit démontré de manière convaincante qu’un bon taux d’oméga-3 protège de toutes les maladies inflammatoires et infectieuses, il a fallu assez bien de temps avant que paraissent des études sur l’impact des oméga-3 sur le COVID-19. Ce n’est que récemment qu’une analyse d’études est parue, qui clarifiait les avantages préventifs d’un bon taux d’oméga-3 contre les complications liées au COVID-19 : anti-inflammatoire, immunomodulant et même peut-être des effets antiviraux. Ceci confirme les résultats de quelques autres études.

Une récente étude-pilote (encore en préimpression) apporte une preuve encore plus convaincante : on a mesuré le taux d’oméga-3 chez 100 patients COVID via l’index oméga-3. De cette étude, il ressort un lien inverse entre l’index oméga-3 et le décès de patients COVID : chez ceux qui présentaient le plus haut taux d’oméga-3, le risque de mortalité était 75% moins élevé que chez ceux qui avaient un faible index oméga-3.
Autrement dit, le risque relatif de mortalité est environ 4 fois plus élevé chez les patients ayant un faible taux d’oméga-3, comparé à ceux qui ont un index oméga-3 correct.
Ce sont surtout les Hollandais qui ont un apport en oméga-3 effrayamment faible.

L’index oméga-3 est un test standardisé qui mesure la proportion d’oméga-3 dans les membranes cellulaires des globules rouges. Pour un bon état de santé, cette proportion doit être au moins 8%.

 

 

Article site ABC Santé

Protégez-vous du COVID-19Le nouveau coronavirus qui a pris le monde d’assaut, n’est pas près de nous quitter. Tout comme les 4 coronavirus endémiques du rhume qui, entretemps, sont devenus relativement inoffensifs.
Un nouveau virus est toujours dangereux parce que personne n’a encore pu construire d’immunité. Au fur et à mesure que les gens vont s’immuniser, le virus devrait lentement devenir moins virulent. Mais il va tous nous toucher. Alors, faites-en sorte que votre immunité soit parée !

- Mangez sainement (mode d’alimentation méditerranéen) et bougez. L’activité physique stimule l’immunité !
- Evitez les déficiences et prenez des compléments si nécessaire. Un test sanguin permet de détecter certaines carences (par exemple la vitamine D). D’autres, telles que les molécules solubles dans l’eau, non (la vitamine C et les vitamines B, de nombreux minéraux, etc.). Pour ceux-ci, il faut de toute façon compléter nos réserves chaque jour.

- Un complément de Vitamine D est très important. En dehors des mois de plein été et pour tout le monde !
- Le sélénium et le zinc pris quotidiennement sont essentiels au fonctionnement immunitaire (et à de nombreuses autres fonctions).
- La vitamine A protège les muqueuses, la première cible de ce coronavirus. N’exagérez pas, pensez aussi au bêta-carotène, le précurseur de la vitamine A.
- Les vitamines B (un complexe de) agissent en synergie et comme cofacteur à tous les niveaux, aussi pour le système immunitaire.
- La vitamine C et la vitamine E sont des antioxydants, utiles pour soutenir l’immunité et éliminer les radicaux libres.
- Un supplément de vitamine K (K2=MK7) est indispensable pour prévenir la calcification des parois vasculaires. Mais cette vitamine est aussi essentielle pour éviter de tomber gravement malade du COVID-19.
- Une bonne flore intestinale maintient le système immunitaire tranquille et paré. Donc : une bonne alimentation avec beaucoup de fruits et de légumes, des pré- et des probiotiques.

- En cas d’infection, la première aide est la vitamine C. Une dose de plus de 2 grammes (jusqu’à 10 grammes et plus) fonctionne comme un oxydant contre les microbes !
- Les acides gras oméga-3 sont anti-inflammatoires et indispensables pour éviter une surréaction du système immunitaire (tempête de cytokines)

- De nombreux phyto-nutriments offrent une protection contre le COVID-19, comme la spiruline, le resvératrol, la berbérine, la curcumine, la quercétine… Incorporez-les dans votre mode d’alimentation.
- Les champignons donnent un rapide « coup de fouet » au système immunitaire, parce qu’ils contiennent des bêta-glucanes (longues chaînes de protéines) comparables à des bactéries. De ce fait, ils mettent en alerte le système immunitaire sans vous rendre malade. Via l’alimentation ou un complément.
- Gardez votre système immunitaire en alerte ! Etre malade de temps en temps avec de la fièvre, ça peut être utile. Mais une cure d’échinacée (3 semaines) stimule le système immunitaire.

Mieux vaut prévenir que guérir. Ayez une alimentation saine et variée !
Si nécessaire, demandez conseil à votre médecin (naturopathe) ou thérapeute et utilisez de bons compléments, fiables !

 

 

Une alimentation végétale et à base de poisson protège d’une forme grave du COVID-19         ------               01/09/2021 lijn

Une alimentation végétale et à base de poisson protège d’une forme grave du COVID-19Depuis un certain temps, il est devenu évident que l’alimentation a un gros impact sur le système immunitaire et les effets en cas de contamination au corona. Il existe maintenant une nouvelle étude ‘de la ligne de front’, menée auprès de 2.884 ‘professionnels de la santé à haut risque’, 95% de docteurs (principalement de race blanche et de sexe masculin) issus de six pays (USA, Royaume-Uni et 4 pays européens). 568 d’entre eux ont contracté le COVID-19.
La gravité de leur maladie a été comparée à des facteurs d’alimentation et de mode de vie rapportés. Aucun lien n’a été trouvé avec l’IMC, le tabagisme, etc… Mais il y avait bel et bien un lien significatif avec les habitudes alimentaires. Cependant, étant donné l’échantillon assez réduit, seules quelques catégories ont été analysées…

Et les résultats étaient surprenants :
- Les participants ayant une alimentation végétale, avec ou sans produits de la mer, courent un risque plus faible de 59 à 73% de développer une forme grave du COVID-19.
- Les personnes suivant un régime pauvre en glucides et riche en protéines : moins de risque d’une forme grave du COVID-19 que le troisième groupe, mais quand même encore près de plus de 50% de risque que le premier groupe. Il n’a cependant pas été possible de déterminer si ce type d’alimentation était ou non bon pour la santé.
- Le troisième groupe, les ‘mangeurs de viande’, avec sans doute une faible consommation de végétaux, couraient donc le plus gros risque. Malheureusement, aucune distinction n’a été faite ici entre les différentes sortes de viande…

Source ABC Santé 

 

Forme grave du Covid-19 : la piste génétique

Forme grave du Covid-19 : la piste génétique

Par le Dr Sophie Florence (Paris) - Date de publication : 6 septembre 2021

Des anomalies génétiques et immunologiques entravant l’immunité contrôlée par l’interféron de type 1, première barrière immunologique contre les infections virales, expliqueraient globalement près de 25% des formes sévères de Covid-19. Des équipes internationales de chercheurs ont collaboré sous l’égide de l’Inserm, d’Université de Paris et de l’AP-HP. Ils viennent de publier leurs résultats dans la revue Science Immunology.
 
Les conséquences d’une infection au SARS-CoV-2 diffèrent considérablement d’une personne à l’autre. Si la plupart des individus infectés sont peu symptomatiques ou asymptomatiques, certains développent des formes sévères voire critiques, avec des pneumopathies nécessitant un séjour en réanimation. Les auteurs ont voulu examiner l’hypothèse d’une prédisposition génétique et immunologique.
En 2020, les chercheurs avaient pu expliquer 10 à 11% des formes sévères car ils s’étaient intéressés en priorité aux patients avec un taux très élevé d’auto-anticorps dans le sang. Dans cette nouvelle étude, ils ont abaissé ce seuil et ont inclus des patients avec des taux neutralisant des concentrations d’interféron jusqu’à 100 fois inférieures.
Les auteurs ont retrouvé que 15 à 20% des formes sévères seraient causées par la présence – dans le sang des patients – d’auto-anticorps qui visent spécifiquement les interférons de type 1
Ces anticorps bloquent l’effet protecteur de l’IFN1 sur la réplication virale. Le virus SARS-CoV-2 pénètre ainsi dans les cellules sans rencontrer de résistance et se réplique de façon incontrôlée.
Dans une cohorte de population saine, ils ont retrouvé que ces auto-anticorps dirigés contre les IFN 1 sont très rares avant 65 ans (0,2 à 0,5%) et augmentent ensuite exponentiellement en vieillissant. Ils atteignent 4% entre 70 et 79 ans, et 7% entre 80 et 85 ans.
Les auteurs concluent que les résultats expliquent en partie pourquoi l’âge est un facteur de risque majeur dans le développement de formes graves de Covid-19.
 
Référence :
Bastard P, Gervais A, Le Voyer T et al.
Autoantibodies neutralizing type I IFNs are present in ~4% of uninfected individuals over 70 years old and account for ~20% of COVID-19 deaths.
Sci Immunol. 2021 Aug 19;6(62)

 

« Covid-19 : on sait enfin pourquoi les diabétiques font davantage de formes graves »

Date de publication : 24 septembre 2021

Sciences et Avenir

Sciences et Avenir note que « depuis le début de la pandémie [Covid-19] on a remarqué que le risque de développer des formes graves était très lié à certains facteurs, tels que l’âge, l’hypertension, l’obésité et le diabète. Ce dernier, par exemple, augmente considérablement le risque de décès suite à l’infection ».
Le magazine rappelle que « selon l’étude française Coronado, qui s’est intéressée au devenir des patients diabétiques hospitalisés avec le Covid-19, la mortalité chez cette population est de 11,2% dans les 7 jours suite à l’infection et de 20,6% dans les 28 jours. Mais alors que ce risque accru avait été déjà mis en évidence en avril 2020, les experts ne savaient pas encore comment l’expliquer ».
« Ceci vient de changer grâce à une étude de l’Université de Michigan (États-Unis) publiée le 21 septembre 2021 dans PNAS », fait savoir Sciences et Avenir.
Le magazine explique qu’« un des principaux mécanismes par lequel le Covid entraîne des formes sévères est le fameux orage cytokinique, qui cause une hyperinflammation des vaisseaux sanguins et des organes. Cette tempête survient quand l’organisme tente de contrôler le virus, mais n’y parvient pas, entamant une surenchère où les cellules immunitaires libèrent trop de cytokines proinflammatoires, qui au lieu de neutraliser le virus vont causer des dommages dans l’organisme. Cet excès inflammatoire est particulièrement présent chez les diabétiques, entraînant une plus grande mortalité ».
Sciences et Avenir indique qu’« en étudiant des cellules humaines de patients diabétiques infectés et des souris diabétiques atteintes par un autre coronavirus (causant une hépatite chez les rongeurs), les chercheurs ont mis en évidence que cette tempête est empirée chez les diabétiques à cause d’une diminution de l’expression d’une enzyme impliquée dans les modifications épigénétiques, la SETDB2 ».
L’article précise qu’« en temps normal, cette enzyme modifie l’histone 3 en y ajoutant trois groupes méthyle (CH3) à la lysine en position 9, ce qui a comme conséquence la répression de l’expression de plusieurs gènes inflammatoires. Chez les diabétiques, la sous-expression de SETDB2 résulte dans une expression incontrôlée de ces gènes inflammatoires, empirant l’inflammation causée par le virus ».
Sciences et Avenir relève que les auteurs « ont aussi remarqué que les niveaux d’interféron bêta (IFNβ), une cytokine libérée par le système immunitaire lors de l’infection, étaient plus bas chez les patients diabétiques infectés, comparés à des personnes infectées mais sans diabète ».
Le magazine observe qu’« il a déjà été proposé qu’un niveau bas de cet interféron de type 1 pourrait être un marqueur indiquant les personnes à haut risque de développer des formes graves, qui en revanche produiraient davantage de cytokines pro-inflammatoires comme les interleukines. Et le traitement du Covid-19 par interféron a déjà été tenté dans l’essai de l’OMS Solidarity, sans succès ».
« Mais il se pourrait que le verdict soit différent pour les patients diabétiques. Car les auteurs ont observé que l’expression de SETDB2 augmentait dans les cellules des diabétiques infectés après un traitement par interféron bêta. Diminuant ainsi l’expression de gènes inflammatoires et, par conséquent, l’inflammation causée par cet orage cytokinique », remarque Sciences et Avenir.

 

Les rhumes protègent du COVID-19
27/09/2021 
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Les rhumes protègent du COVID-19Les coronavirus forment une grande famille de virus, caractérisée par une enveloppe ‘corona’ (en forme de couronne). L’actuel virus SARS-CoV-2 est le septième coronavirus qui s’attaque aux hommes. Et parce que le SARS et le MERS ne sont pas arrivés jusqu’ici, le SARS-CoV-2 est le cinquième virus dans nos contrées.
Les quatre ‘vieux’ coronavirus du rhume et le rhinovirus (pas d’enveloppe ‘corona’) sont responsables de la majeure partie des rhumes qui circulent chez nous.

Les coronavirus se ressemblent les uns les autres : dans leur ‘couronne’, se trouvent de nombreuses protéines semblables qui activent le système immunitaire. On sait clairement depuis longtemps que les rhumes précédents, provoqués par des coronavirus, ont activé le système immunitaire acquis contre les coronavirus. Ils offrent ainsi une protection immunologique (via des cellules T) contre les autres coronavirus.

Des recherches, qui viennent juste d’être publiées, affirment maintenant que les infections au rhinovirus protègent aussi contre le COVID. Une infection au rhinovirus active la réponse interféron-gamma, la ligne de défense spécifique contre les virus. Si celle-ci est déjà activée lors d’une contamination par le SARS-CoV-2, alors les coronavirus ont peu de chances de survivre : leur multiplication est étouffée dans l’œuf.

Donc : ne vous plaignez pas si vous attrapez un rhume, il vous protège du pire ! Et ceci explique probablement pourquoi des infections au COVID restent quasi asymptomatiques (sans avoir de symptômes)…

 

La quercétine contre la COVID-19
| 19/11/2021 |

La quercétine contre la COVID-19Déjà en 2020, des chercheurs chinois avaient constaté que la quercétine (bio-flavonoïde) est très utile pour prévenir les complications en cas de contamination au SARS-CoV2 : ionophore du zinc (elle facilite l’entrée du zinc dans les cellules), anti-inflammatoire et elle semble limiter la formation de caillots sanguins et les dommages rénaux en cas de COVID-19.

Mais il ressort de recherches récentes que la quercétine est capable de bien plus :
- Booster l’activité immunitaire antivirale en produisant plus d’interférons,
- Inhiber les cytokines pro-inflammatoires (prévenir une tempête de cytokines),
- Super important : empêcher que les virus SARS-CoV2 ne puissent s’attacher à leur porte d’entrée habituelle dans les cellules : le récepteur ACE2,
- Des études montrent qu’un complément de quercétine (1.000 mg) a pour effet de modérer la gravité des symptômes et des tests en laboratoire et d’éliminer plus rapidement le virus (on obtient plus vite des tests négatifs).
- Dans une étude sur la prévention et les soins auto-administrés, le groupe avec le complément était moins souvent incommodé par des infections au corona que le groupe placébo.

La quercétine, vous la trouvez dans les fruits et les légumes (oignons, pommes, …). Mais, en période de COVID, prendre un complément est certainement une bonne idée, préventivement et certainement en cas de début d’infection ou d’infection modérée.

 

Echinacea : contre les rhumes, la grippe et la COVID !
| 09/12/2021 |

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Echinacea : contre les rhumes, la grippe et la COVID !On connaît la teinture d’échinacea purpurea depuis des siècles, surtout comme booster immunitaire efficace contre le rhume, la grippe et les infections des voies respiratoires. La teinture agit aussi localement sur les muqueuses et la peau. De plus, l’Echinacea est sûre et a été scientifiquement largement étudiée ; elle agit tant préventivement que dans des cas sévères.

Une récente étude s’est penchée sur les possibilités d’utiliser l’Echinacea comme remède contre la COVID-19, tant préventivement qu’en traitement. Et ceci, sur base de l’efficacité contre les infections virales, la composition unique et la synergie des nombreux composants phytochimiques, dont on connaît les propriétés :
- activation des cellules-T, des macrophages et des lymphocytes,
- modulation des cytokines,
antioxydant et anti-inflammatoire,
- réduit aussi directement l’infectiosité,
- propriétés cannabimimétiques = analgésiques,
- protection des organes.
Les chercheurs concluent que l’Echinacea est donc, sans aucun doute, intéressante : préventivement comme booster immunitaire et pour garder le contrôle sur les symptômes et prévenir des infections secondaires et une aggravation de la maladie/des symptômes.

NDLR : Préventivement, l’Echinacea est de préférence utilisée en cures (3 semaines de prises, 1 semaines d’arrêt) et est déconseillée en cas de maladies auto-immunes.

Source ABC Santé 

 

« Covid-19 : et si l'exposition au soleil protégeait contre les formes graves... »

Date de publication : 10 janvier 2022

Le Parisien

La Dre Martine Perez s’interroge dans Le Parisien : « La vitamine D pourrait-elle aussi protéger des formes graves du Covid-19 ? Une nouvelle recherche du Trinity College à Dublin et de l’Université d’Édimbourg, publiée récemment dans la revue Scientific Reports, a examiné la question ».
« Elle vient de révéler qu’un niveau important de rayonnement solaire, essentiel pour la production de vitamine D par la peau, du lieu d’habitation d’un patient dans les semaines avant l’infection au Covid-19, protégerait fortement contre les formes graves et le risque de décès », note la médecin et journaliste.
Elle rappelle que « des travaux antérieurs ont établi un lien entre une carence en vitamine D et une susceptibilité accrue aux infections respiratoires virales et bactériennes. De même, plusieurs études observationnelles ont trouvé une forte corrélation entre la carence en vitamine D et le Covid-19 ».
Le Pr Lina Zgaga, du Trinity College à Dublin, chercheure principale de l’étude de Scientific Reports, précise : « Notre étude ajoute des preuves supplémentaires au fait que la vitamine D pourrait protéger contre une infection grave. Il est essentiel de mener un essai Covid-19 correctement conçu sur la supplémentation en vitamine D. D’ici là, étant donné que les suppléments de vitamine D sont sûrs et bon marché, il est certainement conseillé d’en prendre et de se protéger contre les carences en vitamine D ».
Le Pr Evropi Theodoratou, professeure d’épidémiologie à l’Université d’Édimbourg et coautrice de l’étude, ajoute que « compte tenu du manque de thérapies vraiment efficaces contre le Covid-19, nous pensons qu’il est important de rester ouvert d’esprit face aux résultats d’études rigoureusement menées sur la vitamine D ».
Martine Perez relève que « l’Académie nationale de médecine a recommandé il y a quelques mois de doser rapidement le taux de vitamine D sérique […] chez les personnes âgées de plus de 60 ans atteintes de Covid-19, et d’administrer, en cas de carence, une dose de charge de 50.000 à 100.000 unités qui pourrait contribuer à limiter les complications respiratoires. Elle a suggéré aussi d’apporter une supplémentation en vitamine D de 800 à 1000 UI/jour aux personnes de moins de 60 ans dès la confirmation du diagnostic de Covid-19 ».
La journaliste observe en outre que «  73 experts réunis autour du Pr Cédric Annweiler, chef du service de Gériatrie au CHU d’Angers, et du Pr Jean-Claude Souberbielle, tous deux spécialistes de la vitamine D, ont appelé il y a quelques mois à supplémenter l’ensemble de la population française en vitamine D et pas uniquement les personnes âgées ou à risque de formes graves de Covid-19 ».

 


Un article un peu différent mas intéressant sur certaines réflexions...

« Covid-19 : combien de Français n'ont jamais eu le Covid ? »

Date de publication : 2 février 2022

Le Parisien

Nicolas Berrod note dans Le Parisien qu’« une partie des Françaises et des Français n’ont jamais été infectés par le SARS-CoV-2, et ne le seront peut-être jamais. Mais combien sont-ils ? Pour le savoir, il faut déjà établir combien l’ont eu, et ce n’est pas une mince affaire ».
Le journaliste explique ainsi que « si 20 millions de cas positifs ont été recensés depuis le début de la pandémie, cas positifs et nombre d’habitants contaminés sont deux chiffres bien différents. Tout d’abord, ce cumul de cas comprend une part de réinfections. Combien ? En Angleterre, 600.000 des 15 millions de cas recensés depuis le début de la pandémie avaient déjà été testés positifs, au moins 3 mois plus tôt ».
« Deuxième biais : de nombreux Français ont attrapé le SARS-CoV-2 sans avoir été testés positifs. Certains n’ont pas eu de symptômes, d’autres étaient dans l’incapacité de se faire dépister (notamment lors de la première vague) », poursuit le journaliste.
Nicolas Berrod explique que « plusieurs méthodes plus fines existent pour estimer la «prévalence», c’est-à-dire la part d’habitants ayant été infectés. Depuis le début de la pandémie, l’Institut Pasteur se base sur la probabilité d’être hospitalisé en cas de contamination. Au tout début, celle-ci était calculée à partir des données de la croisière Diamond Princess, le tout premier méga cluster. Puis, elle a été affinée en prenant en compte les données observées lors de la première vague de Covid en France ».
Le journaliste note ainsi que « d’après les derniers résultats parus en avril dernier, près d’un Français sur quatre aurait alors été infecté (intervalle de confiance entre 20,1 et 25,7%). Il n’y aura «pas de nouvelles estimations sur le court terme», indique l’Institut Pasteur ».
Nicolas Berrod ajoute qu’« en s’appuyant aussi sur les données hospitalières, l’équipe de Mircea T. Sofonea estime qu’on aurait à la mi-janvier 2022 «entre 40 et 50% de la population qui a été infectée». Soit plus de 30 millions d’habitants, et autant n’ayant pas encore attrapé le virus. […] Un tel calcul doit évidemment prendre en compte l’impact de la vaccination et l’émergence des différents variants ».
Le maître de conférences en épidémiologie à l’université de Montpellier précise qu’« au tout début, un décès à l’hôpital voulait dire environ 150 personnes infectées en vie réelle. Là, on est plutôt à 500 voire 1000 ».
Nicolas Berrod continue : « Des enquêtes sérologiques, via des prises de sang, pourraient aussi permettre d’estimer le nombre d’habitants ayant été infectés. À la suite d’une contamination, l’organisme produit des anticorps. Ceux agissant contre la protéine N du virus sont spécifiques de la contamination, mais ils sont «moins souvent recherchés» que ceux basés sur la protéine Spike (S), qui apparaissent également après la vaccination. Ce serait pourtant «la solution la plus simple», selon l’immunologue Stéphane Paul ».
« Simple… mais biaisée. Car ces anticorps anti-N semblent rester détectables moins longtemps que les anti-S », poursuit le journaliste.
Il ajoute : « Sait-on au moins pourquoi certaines personnes passent à ce point entre les gouttes ? Plusieurs hypothèses sont avancées. Avoir attrapé un autre coronavirus par le passé pourrait protéger contre le SARS-CoV-2, selon une récente étude de l’Imperial College London ».
Stéphane Paul relève ainsi que « les personnes qui n’étaient pas infectées par le SARS-CoV-2 étaient celles qui avaient le plus de cellules T générées par de précédentes contaminations ».
Nicolas Berrod évoque une « autre étude, parue début novembre dans Nature, [qui] aboutissait à un constat similaire ». Sandrine Sarrazin, chercheuse en immunologie à l’Inserm, remarque que « les chercheurs sont allés regarder dans le système immunitaire des gens exposés au virus mais qui n’avaient pas de masque et n’étaient pas protégés. Ils n’ont pas cherché de possible mutation génétique, ce qui serait également intéressant ».
Le journaliste conclut ainsi : « Notre profil génétique pourrait-il nous rendre plus ou moins vulnérable face au Covid ? De telles anomalies expliqueraient près d’un quart des formes sévères, rapportait l’Inserm en juillet dernier. Mais on ne sait pas si cela peut aussi valoir pour les simples infections ».

 

 

Les risques des vaccins à ARNm sont de plus en plus clairs
| 03/02/2022

Les risques des vaccins à ARNm sont de plus en plus clairsLes vaccins à ARN messager utilisent de l’ARNm génétiquement modifié qui pousse le corps à produire des protéines Spike. Néanmoins, tant des études expérimentales que des études observationnelles (Étude dans laquelle le chercheur se limite à faire des observations. Aucune intervention active de la part du chercheur n’a donc lieu.) soulignent que ce type de vaccins provoque une réaction immunitaire totalement différente par rapport à une simple infection. Cette découverte n’est pas nouvelle, mais un article scientifique en élucide les mécanismes et les conséquences.

Le vaccin à ARNm perturbe grandement la signalisation des interférons de type 1 (IFN-1), lesquels sont essentiels à la défense du système immunitaire inné contre les agents infectieux. De plus, ce type de vaccin force les cellules à produire des exosomes (vésicules) contenant la protéine Spike et de l’ARNm, qui circulent dans le corps et causent des dégâts ailleurs. Les chercheurs ont également découvert de graves troubles dans les systèmes de contrôle des protéines anormales, de l’ADN et des cellules (cancer !). Et ceux-ci sont directement liés aux maladies neurodégénératives, à la myocardite, à la thrombopénie immunitaire (troubles de la coagulation), à la paralysie de Bell (paralysie du nerf facial), aux maladies du foie, aux troubles immunitaires, à une tumorigenèse élevée (cancer) et à des dommages à l’ADN.

Les chercheurs appuient ces constatations à l’aide des « adverse event reports » de la base de données américaine VAERS.
« Nous estimons que le profil bénéfice-risque des vaccins à ARN messager exclut leur contribution à la santé publique, même en cas de pandémie de coronavirus. »

Source ABC Santé 

 

 

Le sélénium fait la différence contre la COVID-19
| 24/02/2022 |

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Le sélénium fait la différence contre la COVID-19En cas de contamination à la COVID-19, l’état nutritionnel de l’« hôte » s’avère jouer un rôle clé à l’égard de l’évolution de la maladie. Le sélénium est un oligo-élément essentiel des sélénoprotéines, lesquelles contrôlent un très large éventail d’effets sur la santé, notamment du système immunitaire, du stress oxydatif et de l’inflammation. C’est pourquoi, ces deux dernières années, plusieurs études ont été publiées concernant l’importance d’un bon taux de sélénium, tant en vue de prévenir la COVID-19 que d’en limiter l’évolution et la gravité.

Les études sont univoques : une carence en sélénium constitue un facteur de risque majeur d’évolution grave de la COVID-19, de rétablissement difficile et de décès. En cas de contraction de la maladie, de faibles concentrations sériques de sélénium s’avèrent non seulement préjudiciables au système immunitaire, mais aussi au système endocrinien (système hormonal) et au système nerveux central, ce qui explique de nombreux symptômes que présentent les patients gravement atteints.

Tout comme d’autres régions de Chine (Wuhan), l’Europe possède un sol pauvre en sélénium. Par conséquent, les carences sont monnaie courante et les suppléments sont d’autant plus importants.
NB. Pensez aussi au supplément de zinc, etc.

Source ABC Santé 

 

Eliminer la protéine Spike après la COVID-19 ou le vaccin
18/03/2022

Eliminer la protéine Spike après la COVID-19 ou le vaccinLes méfaits du virus SARS-CoV-2 sont la protéine Spike. Cette dernière s’attache aux cellules par le biais des récepteurs ACE2 présents à la surface des muqueuses (système respiratoire, système gastro-intestinal) et à l’endothélium (couche intérieure) du cœur et des vaisseaux sanguins. La protéine Spike bloque non seulement ces récepteurs capitaux, mais entre également dans les cellules où elle peut faire des ravages. La forme grave de la COVID-19 se développe donc lorsque le système immunitaire ne parvient pas à neutraliser dès le début l’invasion du virus et de cette protéine.

Néanmoins, le vaccin à ARNm favorise également ce processus, car il stimule nos propres cellules à produire cette protéine nocive. L’incidence et le danger de ce phénomène sont encore peu connus et surtout démentis. Mais le nombre d’effets secondaires et de complications s’avère extrêmement plus élevé par rapport à tous les vaccins antérieurs regroupés.

Des scientifiques et des médecins du monde entier ont élaboré un programme détox assorti d’une liste de solutions tant pour éliminer la protéine Spike que pour neutraliser les agents pathogènes à la suite de la contraction de la maladie et de l’administration du vaccin.
Bonne nouvelle : la plupart de ces solutions se trouvent dans les aliments sains ou sont disponibles sous forme de compléments alimentaires. Certains nécessitent une ordonnance (ou sont interdits…).

Source ABC Santé 

 

 

« Grippe, rhume... après deux ans de pandémie de Covid, notre système immunitaire est-il affaibli ? »

Date de publication : 29 mars 2022

Le Parisien

C’est ce que titre Le Parisien, qui relève que « les virus hivernaux font un retour en force. Ils provoquent parfois des symptômes forts, signe que nos corps ne sont plus habitués à les combattre, après deux ans de gestes barrière stricts ».
Nicolas Berrod remarque ainsi que « ces deux dernières années, on a fait davantage attention, porté le masque, lavé nos mains… Sans compter les mois passés en confinement. Le SARS-CoV-2 n’est pas le seul à en avoir « pâti », c’est aussi le cas de tous les virus respiratoires ».
« La grippe a été quasiment inexistante durant la saison hivernale 2020-2021 et elle n’a véritablement démarré que fin février cette année. La circulation d’autres virus, comme ceux à l’origine de simples rhumes, a aussi été fortement freinée », note le journaliste.
Il rappelle que « pour être efficace, notre système immunitaire a besoin d’être « stimulé ». Cela peut passer par des infections (non désirées) ou par la vaccination (consentie). Dans le cas contraire, nos défenses perdent en réactivité lorsqu’on est infecté ».
Nicolas Berrod remarque cependant que « ces dernières semaines, le relâchement des restrictions a changé la donne. Le port du masque n’est plus obligatoire dans les lieux soumis précédemment au passe vaccinal (cinémas, musées, enceintes sportives) depuis le 28 février, ni dans les commerces, au bureau et à l’école depuis le 14 mars ».
Santé publique France observe ainsi : « L’intensification de la circulation des virus grippaux a été très probablement favorisée par la fin des mesures de contrôle de la pandémie de Covid-19 ».
Le journaliste poursuit : « Entre le Covid (version Omicron), la grippe et un rhume, difficile parfois de savoir ce dont on souffre. De nombreux symptômes comme la fatigue, le nez qui coule ou le mal de gorge, peuvent survenir avec différents virus. Dans plusieurs pays anglo-saxons, le terme de « super rhume » (« super cold ») a aussi été avancé. Comprendre : un rhume mais avec des symptômes plus prononcés que par le passé ».
Il note que « certaines personnes évoquent aussi le fait que la vaccination contre le Covid, notamment avec des doses de rappel répétées à plusieurs mois d’intervalle, affaiblirait notre système immunitaire ».
Sandrine Sarrazin, immunologue, chercheuse à l’Inserm, précise que « plus on va administrer le même vaccin, plus on sélectionne des clones de lymphocytes qui vont reconnaître très précisément le virus ciblé. Mais cela n’aura pas d’impact sur le système immunitaire global ».

 

Une immunité plus forte et plus large après la COVID-19
| 07/04/2022 |

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Une immunité plus forte et plus large après la COVID-19La crise de COVID-19 connait des pics et des creux auxquels se greffe la frénésie des doses de rappel. Car, bien que les vaccins donnent un sérieux coup de fouet aux anticorps, ce dernier s’avère de très courte durée et se destine spécifiquement au premier variant (Wuhan) et à peine aux autres. Par ailleurs, les preuves scientifiques et les publications sur la forte immunité naturelle à la suite d’une infection sont toujours démenties.

Une nouvelle étude scientifique parue dans le New England Journal of Medicine le souligne à nouveau : « La vaccination est associée à une haute protection de courte durée contre le SARS-CoV-2, laquelle s’estompe rapidement, tandis qu’un an après la contraction de la maladie, le corps est toujours immunisé. » Selon d’autres études, ce serait également le cas après une infection sans avoir été vacciné… Et les personnes qui ont contracté le SARS en 2004 seraient encore immunisées contre les autres virus du type corona. De plus, il existe également une immunité croisée entre la COVID-19 et les quatre virus du rhume qui circulent chaque année chez nous en hiver…

Pendant ce temps, mauvaise nouvelle du Royaume-Uni, où ils ont quelques mois d’avance sur le taux de vaccination. Une nouvelle vague de COVID-19 sévit et 75 à 90 % des infections, des admissions et des décès touchent des personnes entièrement vaccinées.

« Les anticorps acquis lors de la vaccination ont moins de valeur, mais entrent en compétition avec les anticorps naturels à large spectre, explique Geert vanden Bossche, virologue et expert en vaccination. Ceux-ci sont donc échangés contre des anticorps à spectre étroit moins performants du vaccin. Non seulement on n’est plus protégé contre les autres variants de la COVID-19, mais on est également moins protégé contre d’autres infections. »

Source ABC Santé 

 

« Pourquoi n'attrape-t-on certains virus qu'une fois ? »

Date de publication : 10 mai 2022

Science et Vie

Science et Vie rappelle que « certains virus comme celui des oreillons ne s’attrapent qu’une fois dans la vie, quand la grippe peut, elle, frapper plusieurs années de suite la même personne ».
Le magazine explique qu’« il s’agit d’infections provoquées par des virus contre lesquels notre organisme ne se défend pas de la même façon. La rougeole ou les oreillons sont dus à des virus à ADN, auquel un génome très stable donne une apparence constante aux yeux des défenses immunitaires. Que l’un d’entre eux pénètre l’organisme pour la première fois (on parle de primo-infection), et cela déclenche la production d’anticorps et de cellules tueuses ».
« Du coup, lorsque le virus se présente à nouveau, il est immédiatement reconnu par notre système immunitaire, qui le neutralise avant même l’apparition de symptômes. C’est d’ailleurs sur ce principe que fonctionne la vaccination », précise Science et Vie.
Le magazine ajoute que « dans la grande famille des virus à ADN, on trouve aussi les herpès virus qui ont ceci de particulier qu’ils sont capables de subsister dans l’organisme après une primo-infection. Tant qu’ils restent sous le contrôle du système immunitaire, ils ne font pas parler d’eux ; mais si celui-ci vient à faiblir, à cause du stress, de l’âge, d’un diabète ou de la perte des défenses immunitaires (comme dans le cas du sida), ils peuvent “se réveiller” ».
Il évoque en outre ces « insaisissables virus à ARN », comme le SARS-CoV-2 : « Ceux-là ont un génome très instable, de sorte que leur apparence varie beaucoup : leurs molécules de surface, que notre système immunitaire utilise pour les détecter et les combattre, évoluent sans cesse. D’une infection à l’autre, le virus change d’apparence, échappant ainsi à nos défenses immunitaires. C’est le cas du virus de la grippe. Et c’est ce qui explique qu’il faille se faire vacciner chaque année pour se protéger du nouveau variant ».
« C’est aussi le cas du SARS-CoV-2 : sa protéine de surface (Spike) mute en permanence. Une fois mutée, nos anticorps ne reconnaissent plus le virus : c’est de cette manière que l’on peut attraper une seconde fois le virus. Et cela explique aussi pourquoi on peut attraper le virus sous la forme d’un variant même après avoir été vacciné », souligne Science et Vie.

 

 

Le sureau, un protecteur omniprésent, même contre le SARS-CoV-2
| 21/06/2022 |

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Le sureau, un protecteur omniprésent, même contre le SARS-CoV-2Nos grands-mères savaient déjà que le sirop de sureau constituait le meilleur remède contre le rhume et la grippe, ce qui a aussi été scientifiquement prouvé au moment de l’épidémie de SARS en 2004. L’extrait de sureau constitue le seul « antiviral » à l’efficacité prouvée et durable contre les virus, y compris les virus de la grippe et les coronavirus.
En outre, le sureau pousse partout chez nous, et on retrouve du sirop de sureau très facilement. L’allié par excellence en cette période de coronavirus !

Plusieurs études insistent :
1. « Les baies de sureau contiennent des composants phytothérapeutes aux propriétés antivirales, antibactériennes, antidiabétiques et immunostimulantes. Elles possèdent également des propriétés antitumorales et antidépressives, et exercent une influence sur l’obésité et les dysfonctionnements métaboliques. Par ailleurs, les polyphénols et les lectines des baies inhibent les coronavirus. »
2. Une deuxième étude a prouvé cela « in vitro » (en laboratoire). Les chercheurs ont étudié des variétés de sureau sauvage (Sambucus nigra) et ont constaté que les extraits de baies comme de fleurs empêchaient, en fonction de la concentration, la protéine SARS-CoV2-S de se lier aux récepteurs ACE. De plus, l’activité des variétés sauvages s’est avérée plus élevée que celle du sureau cultivé

Source ABC Santé 

 

Des dommages au foie dus au vaccin contre la COVID-19
| 30/08/2022 | Source ABC Santé 
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Des dommages au foie dus au vaccin contre la COVID-19Les vaccins constituent la cause principale d’« accidents médicaux inexpliqués », mais en ce qui concerne les vaccins contre la COVID-19, cela prend des proportions bien trop importantes, malgré les tentatives acharnées de l’industrie pharmaceutique et des preneurs de décisions de taire ces conséquences, souvent graves. Les arrêts cardiaques et la mort subite chez les jeunes (enfants) et les sportifs/athlètes, les handicaps neurologiques, les perturbations du cycle menstruel, les fausses couches et les problèmes de fertilité, etc. étaient déjà connus. S’en suivent désormais des signes de maladies auto-immunes, y compris de graves dommages au foie.

La plupart du temps, les vaccins sont intentionnellement conçus en vue de susciter une réponse immunitaire par le biais de l’inflammation. Dans le cadre des vaccins plus anciens, ces procédés sont connus et une partie des « échecs » a été recensée. Cependant, cela n’a pas été le cas pour le « vaccin contre la COVID-19 », une thérapie génique non testée. Très peu d’études (et de courte durée) ont été menées et ne concernaient pas la sécurité ni le risque en matière de cancer.
De nombreuses publications très récentes montrent que l’inflammation suscitée peut provoquer des maladies auto-immunes, également dans le foie, entrainant une hépatite aiguë avec lésions structurelles, une nécrose voire une insuffisance hépatique.

Soyez vigilant et protégez votre foie !

 

Plus d’effets secondaires du vaccin C19 après une infection antérieure
| 22/09/2022 |

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Plus d’effets secondaires du vaccin C19 après une infection antérieureLe système immunitaire ne relève pas des mathématiques. En effet, l’addition « infection + vaccination = meilleure protection ? » ne fonctionne pas.
Bien qu’on l’ait négligé, on savait déjà que l’association d’une contamination au SARS-CoV-2 et du vaccin contre la COVID-19 augmente le risque d’effets indésirables. Les vaccinologues avaient déjà tiré la sonnette d’alarme avant le lancement des campagnes de vaccination, comme en 2009, dans le cadre d’expérimentations ratées des vaccins antérieurs contre le SARS et la dengue. À l’époque, les animaux de laboratoire vaccinés avaient développé des réactions/infections pulmonaires sévères (mortelles) au contact du virus. Il s’agissait du vaccin ADE*.

Il s’avère également que le nombre d’effets secondaires systémiques graves augmente en fonction du nombre de vaccins/doses de rappel.
Une étude récente sur les prestataires de soins de santé au Royaume-Uni a avancé les résultats suivants :
- Pour toutes les doses du vaccin BNT162b2/Pfizer, l’on a constaté un groupe d’effets secondaires systémiques significativement plus graves chez les personnes ayant des antécédents de maladie de la COVID-19.
- Pour la première, deuxième et troisième dose, plus les personnes vaccinées étaient jeunes, plus le nombre d’effets secondaires systémiques était élevé et grave (plus on est jeune, plus le système immunitaire réagit violemment).
- En combinaison avec le vaccin contre la grippe dans un intervalle de moins d’une semaine entre les deux piqûres, les risques d’effets secondaires sont plus importants.

NDLR : *ADE = Antibody Dependent Enhancement. Le vaccin produit principalement des « anticorps non neutralisants », incapables de tuer le virus. Toutefois, lors d’une exposition ultérieure au virus/vaccin, ils peuvent déclencher une réponse immunitaire massive (exagérée). En bref, c’est ce qui se produit actuellement…

Source ABC Santé 

 

La supplémentation en vitamine D3 pour lutter contre la COVID-19
| 30/09/2022 |

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La supplémentation en vitamine D3 pour lutter contre la COVID-19Plusieurs études se sont récemment penchées sur l’influence de la supplémentation en vitamine D3 sur le risque d’infection au SARS- CoV-2. Et ce notamment sur un grand groupe de soignants d’un hôpital dédié à la COVID-19 dans le nord du Mexique. 198 participants ont été répartis selon leur choix en deux groupes : le groupe « supplémentation en vitamine D3 » et le groupe « mesures alimentaires et d’hygiène » (exposition au soleil, alimentation riche en vitamine D, etc.). Les participants n’avaient aucun antécédent d’infection à la COVID-19 et l’étude s’est majoritairement déroulée avant les périodes de vaccination.

Après trois à six mois, les résultats soulignaient que les soignants dans le groupe de supplémentation contractaient significativement moins le SARS- CoV-2 que le second groupe (mesures alimentaires et d’hygiène). Après trois mois, 7 % contre 33 %. Après six mois, 13 % contre 39 %.

Ces études montrent que la supplémentation en vitamine D3 peut réduire le nombre d’infections au SARS- CoV-2, même dans le cas de personnes exposées au virus (hôpital dédié à la COVID-19), et ce même vis-à-vis de personnes qui prennent soin d’elles en respectant une alimentation et un mode de vie sains ainsi que des mesures d’hygiène. Aucun effet indésirable n’a été enregistré en ce qui concerne la supplémentation.

Source ABC Santé 

 

Une surmortalité en l’absence d’un pic de coronavirus… Le paradoxe de la vaccination ?
| 01/11/2022 |

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Une surmortalité en l’absence d’un pic de coronavirus… Le paradoxe de la vaccination ?L’Écosse était la première à lancer l’alerte : 14 % de surmortalité, non pas pendant les périodes de pic de la COVID-19, mais après les campagnes de vaccination.
Depuis avril 2022, le Royaume-Uni, qui tient minutieusement le taux de mortalité à jour, enregistre environ 24 000 « décès inexplicables », dont 91 % des cas s’étaient vu administrer des doses de rappel.
Les États-Unis, l’Afrique du Sud, Israël, etc. présentent également des taux de mortalité élevés.

Sur la base des chiffres du RIVM aux Pays-Bas et de Sciensano en Belgique, nous devons également nous rendre à l’évidence. La surmortalité ne suit pas le virus, mais les campagnes de vaccination. À l’inverse d’« autres causes », la COVID-19 n’est pas l’origine principale de la surmortalité. « Une augmentation soudaine de la mortalité d’environ 10 % au moment de la mise en place des doses de rappel au printemps, la surmortalité se poursuivant toujours. » (De Hondt)
En outre, la dose de rappel aux Pays-Bas (à partir du 19 septembre) s’avère déjà causer plus de décès que la moyenne (35 par jour).

De Hondt : « L’épidémie de coronavirus se divise en réalité en deux parties : avant et après la vaccination. Jusqu’en avril 2021, les chiffres de la COVID-19 s’apparentent à ceux d’une grippe sévère : environ 10 000 décès en raison de l’épidémie en elle-même et une sous-mortalité complémentaire qui s’ensuit. En revanche, après la première vague de vaccination, l’on constate une mortalité due à la COVID-19 ainsi qu’une surmortalité continue. »

Source ABC Santé

COVID-19 : que faire si vous tombez malade ?
| Infections |

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COVID-19 : que faire si vous tombez malade ?Repos, isolement et règles d’hygiène générales. Evitez les antipyrétiques, car les virus sont sensibles à la température. La fièvre est la meilleure défense !

- Une méga dose de Vitamine D peut booster au maximum le système immunitaire. Toujours combiner avec de la Vitamine K2 (MK17) en raison de la synergie et du rôle que la carence en K2 semble jouer ...
- Une méga dose de Vitamine C semble être très efficace. Jusqu’à 10 g. par jour, voire plus : l’effet « oxydant » tue les virus. Cela a été prouvé sur des infections respiratoires et sur le Covid-19 (en Chine et à New-York).
- Des doses élevées de zinc. A combiner avec la quercetine et assurer vous d'un apport suffisant en sélénium.
- NAC (N-acétyl L-cystéine) : fluidifie les glaires et protège les muqueuses (aussi : Lysox)
- Les Oméga 3 et des fruits de mer, bien sûr en plus d'une alimentation saine avec suffisamment d'ingrédients végétaux.
- NSAID (aspirines, brufen, voltaren) : fortement contre-indiqués, cas ils aggravent l’infection.

Naturels et sains :
- L’extrait/le sirop de sureau est le seul remède dont la capacité à tuer le virus de la grippe et le coronavirus a été abondamment scientifiquement démontrée de manière probante, il a en outre le même effet sur le virus de la grippe aviaire/le SRAS et sur celui de la grippe mexicaine.
- La Propolis : antivirale et stimule l’immunité.
- Les huiles essentielles : antivirales et antibactériennes. Et spécifiques aux voies respiratoires : Ravensara, Eucalyptus, thym jaune et rouge, origan, pelargonium, arbre à thé, …).
- Les canneberges (en sirop) : empêchent que les microbes s’accrochent aux muqueuses.
- Les champignons : ils boostent fortement l’immunité et agissent rapidement.
- La lactoferrine et le colostrum : antiviraux extrêmement puissants.
- L’argent colloïdal : fortement antimicrobien et sans danger.
- Les aliments ayant des effets antiviraux : l’ail, l’huile de coco (pressée à froid), les bioflavonoïdes/polyphénols, les aromates (origan, thym, romarin, …), …

 

 
 
 

Date de dernière mise à jour : 03/11/2022